Jacques-Henri Eyraud a dépassé les bornes. En laissant entendre que certains salariés étaient trop « supporters » à ses yeux, le président de l’OM a blessé une bonne partie du peuple marseillais. Hier, La Provence a donné la parole à d’anciens collaborateurs qui n’ont pas manqué de le rhabiller pour l’hiver. Ce mercredi, c’est au tour de Manuel Amoros de monter au créneau malgré le communiqué de l’OM suite à l’article à charge paru dans le quotidien régional. Le moins que l’on puisse dire, c’est que l’ancien latéral droit international de l’OM en veut à Eyraud.