Ligue 1

RC Strasbourg : les souvenirs de la victoire en Coupe de la Ligue 1997 d’Olivier Dacourt

En 1997, le RC Strasbourg d’Olivier Dacourt avait battu les Girondins de Bordeaux aux tirs au but (0-0, 6 t.

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But ! Football Club
28 mars 2019 20h39

a.b. à 5) pour s’adjuger sa première Coupe de la Ligue.

S’il s’impose samedi soir face à l’EA Guingamp, le Racing Club de Strasbourg pourrait rejoindre l’OM et les Girondins de Bordeaux au palmarès de la Coupe de la Ligue avec une troisième victoire. Il deviendrait alors le 2e spécialiste ex aequo de l’épreuve derrière le PSG (8). Lors du premier sacre, en 1997 (le 2e fut en 20045), Olivier Dacourt menait les opérations au milieu de terrain. Il a livré ses souvenirs de la finale face à Bordeaux (0-0, 6 t.a.b. à 5) au site officiel de la LFP.

‘J’ai eu de la chance, j’ai connu les très belles années, quand on jouait le Milan AC, l’Inter Milan et Liverpool en Coupe d’Europe. Pour ce qui est de la victoire en Coupe de la Ligue, Il y avait pas mal de joueurs issus du centre de formation. A l’époque, nous étions 3-4 à avoir été champions en -17 ans et demi-finalistes de Coupe Gambardella. Nous avions un passé ensemble. Il y avait une ambiance exceptionnelle, màªme avec les plus anciens comme Baticle, Zitelli, Raschke… C’était justement à§a la clé de notre victoire dans cette compétition, qui était le premier trophée du club depuis de nombreuses années. Cela reste un super souvenir. Le retour à Strasbourg avait été fantastique.’

‘Quand « Steph » Collet marque le tir au but et court pour fàªter la victoire, on est tous allés vers lui et j’ai failli me prendre un banc. J’ai aussi une image avec « Valé » (Ismaël), on est devant le public avec la coupe et on les fait se lever. On était tous les deux formés au club, on était donc peut-àªtre plus touchés que les autres par cette victoire. Ce sont des moments exceptionnels, gravés. C’est mon premier titre en tant que professionnel. Il faut profiter de chaque instant, parce qu’on ne sait jamais si on va disputer une autre finale. Quand on fait le bilan, plus tard, ce sont des moments qui comptent.’

R.N.