Ligue 1
PSG – OM : Ronaldinho, Luis Fernandez, le Vélodrome…Frédéric Déhu évoque ses plus chauds Classicos
Au cours d’un entretien accordé à la Provence, l’ancien défenseur du PSG et de l’OM, Frédéric Déhu, est revenu sur ses plus chauds classicos, lui qui a évolué dans les deux clubs.
Au cours d’un entretien accordé à la Provence, l’ancien défenseur du PSG et de l’OM, Frédéric Déhu, est revenu sur ses plus chauds classicos, lui qui a évolué dans les deux clubs.
Il a, l’espace de quelques instants, ouvert sa boà®te à souvenirs. Afin d’évoquer ces matches chauds de notre championnat que constituent les deux classicos de chaque saison entre l’OM et le Paris Saint-Germain.
Et si cette rivalité, construite de toute pièce par Canal Plus dans les années 90 pour nourrir une grosse audience, n’a plus lieu d’àªtre aujourd’hui, tant le PSG est devant, le rendez-vous de dimanche, au Parc des Princes, sera nécessairement attendu par les supporters des deux camps.
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Retour au Centre Ooredoo pour l’entraà®nement du jour ! ?
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— Paris Saint-Germain (@PSG_inside) 14 mars 2019
Frédéric Déhu, qui est l’un des rares joueurs à avoir porté le maillot des deux clubs, a accepté pour le compte de La Provence, de revenir sur certains de ses Classicos. En les comparant, bien entendu, et en se souvenant de quelques anecdotes croustillantes.
‘Celui que je n’oublierai pas ? Une victoire du PSG 3-0 au Vélodrome, avec un Ronaldinho flamboyant. Beaucoup de gens qui me parlent de ce match-là n’ont retenu que la performance de ‘Ronnie’. Mais ce jour-là , c’est Jérôme Leroy qui avait fait un match exceptionnel en marquant deux buts. Mon plus beau souvenir ? Le but de Fabrice Fiorèse à la dernière minute, au stade Vélodrome (le 30 novembre 2003, victoire 1-0 du PSG). Dans un tel contexte, gagner un match à la 90e minute a toujours une saveur particulière. On avait contenu les assauts marseillais et marqué à la dernière minute. Quoi de mieux ? Le pire souvenir ? La défaite en finale de la coupe de France avec l’OM (le 29 avril 2006). Je pense qu’on avait une équipe supérieure à celle du PSG et sur ce match-là , on perd 2-1. Cette défaite a été dure à encaisser, surtout quand on connaà®t la rivalité entre les deux clubs et l’importance d’un titre car à§a faisait longtemps que l’OM n’avait rien gagné.’
L.T.
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