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Ligue 1

OM : comment le club a contourné la loi pour Hiroki Sakai

L’OM a réussi à faire passer l’opération de son latéral droit Hiroki Sakai pour une urgence alors que les interventions sont limitées en ces temps de crise.

L’Olympique de Marseille a annoncé mardi matin qu’Hiroki Sakai allait àªtre opéré dans la journée de sa cheville gauche. Le club phocéen entendait profiter de la tràªve forcée par la crise sanitaire pour retaper son latéral droit japonais, sa convalescence ne devant pas excéder deux mois.

Mais comment le club a-t-il pu contourner la règle en vigueur qui veut que les opérations non essentielles sont reportées jusqu’à la fin de l’épidémie de Covid-19 ? La réponse a été apportée La Provence dans son édition du jour : l’OM a expliqué que la blessure de Sakai résultait de coups reà§us et que si elle n’était pas soignée rapidement, ses chances de travailler correctement étaient compromises.

Un cas de force majeur, en quelque sorte. C’est ainsi que la clinique Juge a donné son feu vert à l’opération et que le docteur Christophe Cermolacce a pratiqué son intervention. Hiroki Sakai devrait pouvoir retrouver les terrains à la mi-mai, ce qui signifie qu’il ne manquerait, au mieux, que quinze jours de compétition.

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OM : comment le club a contourné la loi pour Hiroki Sakai

L’OM a réussi à faire passer l’opération de son latéral droit Hiroki Sakai pour une urgence alors que les interventions sont limitées en ces temps de crise.

L’Olympique de Marseille a annoncé mardi matin qu’Hiroki Sakai allait àªtre opéré dans la journée de sa cheville gauche. Le club phocéen entendait profiter de la tràªve forcée par la crise sanitaire pour retaper son latéral droit japonais, sa convalescence ne devant pas excéder deux mois.

Mais comment le club a-t-il pu contourner la règle en vigueur qui veut que les opérations non essentielles sont reportées jusqu’à la fin de l’épidémie de Covid-19 ? La réponse a été apportée La Provence dans son édition du jour : l’OM a expliqué que la blessure de Sakai résultait de coups reà§us et que si elle n’était pas soignée rapidement, ses chances de travailler correctement étaient compromises.

Un cas de force majeur, en quelque sorte. C’est ainsi que la clinique Juge a donné son feu vert à l’opération et que le docteur Christophe Cermolacce a pratiqué son intervention. Hiroki Sakai devrait pouvoir retrouver les terrains à la mi-mai, ce qui signifie qu’il ne manquerait, au mieux, que quinze jours de compétition.

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