Président du LOSC, Michel Seydoux ne redoute pas spécialement cette nouvelle taxation pour l'avenir de son club.
« Cela ne change pas l'équilibre du club à court terme car les joueurs sont sous contrat. L'entreprise n'est pas en péril » , mais le dirigeant nordiste craint un exode massif parmi les 150 joueurs concernés par cette réforme : « Les talents vont s'exporter, c'est un danger pour le spectacle. La concurrence est en quelque sorte déloyale vis-à -vis des autres pays où la fiscalité est différente. » Plusieurs présidents de clubs comme Vincent Labrune ou Jean-Michel Aulas se sont élevés contre cet impôt qui aurait surtout pour effet d'appauvrir les clubs franà§ais et de creuser encore un peu plus l'écart entre le PSG, qui s'est engagé à garantir les rémunérations nettes de ses stars, et ses rivaux.