Droits TV : Aulas ajoute son grain de sel dans le chaos ambiant

En 2020, Jean-Michel Aulas avait poussé la candidature de Michel Denisot pour le poste de président de la LFP. La majorité des patrons de L1 avait préféré opter pour Vincent Labrune. L’ancien boss de l’OL savait pourtant que ce dernier n’était pas un bon dirigeant, pour avoir croisé le fer avec lui quand il était à la tête de l’OM. Quatre ans et un feuilleton des droits TV catastrophique plus tard, JMA constate les dégâts mais ne pavoise pas pour autant.

« Ce n’est pas une bonne nouvelle pour le foot professionnel français »

« On est très loin de ce qui avait été envisagé, a reconnu déclaré JMA, désormais vice-président de la FFF, sur France Info. Il va falloir finaliser l’accord pour savoir combien beIN va pouvoir apporter à l’obole présentée par DAZN. Mais on sera en dessous de ce qui avait été prévu. (Il y aura) des budgets à refaire pour tous les clubs, surtout pour ceux détenus par des investisseurs propriétaires français. Ce n’est pas une bonne nouvelle pour le foot professionnel français. »

Pour résumer

En son temps, Jean-Michel Aulas avait soutenu la candidature de Michel Denisot face à un Vincent Labrune dont il avait pu mesurer l’incompétence quand il était à la tête de l’OM. Aujourd’hui, l’ex-président lyonnais constate les dégâts.