L’ancien défenseur de l’ASSE, Patrick Guillou, livre son analyse après chaque match des Verts pour le compte du Progrès. Et de toute évidence, il n’a que très moyennement apprécié la prestation des joueurs de Dall’Oglio face à l’OM (0-2).
Il fallait s’y attendre. Et Patrick Guillou a confirmé la tendance. Lui, comme tant d’autres, ne s’est pas remis de la prestation indigente des joueurs de l’ASSE, dimanche soir contre l’OM. Une défaite à la clé, certes, mais surtout la sensation de voir une formation stéphanoise démunie, incapable de faire trois passes consécutives et de se porter vers l’avant. Seule et unique différence avec les autres supporters des Verts, Guillou, lui, dispose d’une chronique hebdomadaire dans Le Progrès, le quotidien régional stéphanois.
Et il ne s’est pas privé de partager son douloureux ressenti. Bien au contraire. « Face à l’OM, les Verts voulaient bien gagner le match. A la limite faire match nul. Mais ils ne voulaient surtout pas jouer vers l’avant. Le pas se fait lourd. Surtout quand on n’est pas armé avec les meilleurs canons du monde(…)Cent euros la place pour ce match dit de gala, tout est écrit quand on frappe à la porte du désespoir. La vérité n’est jamais amusante, sinon tout le monde la dirait. »
Un trio dans le viseur
Avant, une fois encore, de viser le triumvirat opérationnel du club, Jean-François Soucasse, Samuel Rumsten et Loïc Perrin. « Pour contenir un destin qu’il ne maîtrise plus, le trio fume encore les cigares du patron. Il croise surtout les doigts afin qu’une énième fois, le mercato hivernal sentira bon la fleur d’oseille. » Prochain match de l’ASSE, vendredi au Stadium de Toulouse face au TFC. Une autre chronique de Patrick Guillou suivra.
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